Moins, c'est parfois plus: Contre les traitements médicaux excessifs ou inappropriés

Un nombre croissant de traitements dispensés et d’examens effectués nuisent plus aux patients qu’ils ne leur sont bénéfiques. smarter medicine a pour objectif que les mesures médicales ne soient appliquées que lorsqu’elles apportent réellement quelque chose. Pour y parvenir, l’association encourage la discussion et la recherche sur les traitements inutiles et met du matériel d’information à disposition.

Actualités

30. janvier 2024

pédiatrie suisse publie une deuxième liste Top 5 en collaboration avec l’organisation d’utilité publique smarter medicine. Selon la devise «moins, c’est parfois plus», celle-ci énumère cinq nouveaux examens diagnostiques de pédiatrie auxquels il est possible de renoncer.

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24. janvier 2024

La Société Suisse d’Angiologie publie une liste Top 5 en collaboration avec l’organisation à but non lucratif smarter medicine. Étonnant: dans sa première recommandation, la société déconseille la prise prolongée d’aspirine en l’absence de signes de maladie cardiovasculaire.

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08. janvier 2024

L'hôpital cantonal de Winterthur (KSW) et l'organisation d'utilité publique smarter medicine s'associent. Ensemble, ils s'engagent contre les excès et les erreurs de soins médicaux. Car moins, c'est parfois plus.

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29. novembre 2023

On s’en est douloureusement aperçus avec la nouvelle hausse des primes d’assurances maladie : en Suisse, les soins médicaux sont de très bonne qualité, mais plombent le budget des ménages. Un reportage intéressant sur la RTS

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29. novembre 2023

«Ne pas fluidifier le sang pendant plus de trois mois en cas de première thromboembolie veineuse qui s’est développée après une opération, un accident ou une position allongée prolongée» est l’une des cinq recommandations publiées par la SSH dans la «liste Top 5». En collaboration avec l’organisation d’utilité publique, la Société s’engage à éviter les traitements inutiles.

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15. novembre 2023

Le Réseau hospitalier neuchâtelois est un nouveau partenaire de smarter medicine. Les deux organisations s’engagent pour éviter la surmédicalisation et les soins inappropriés chez les patient-e-s, selon la devise: « Moins, c’est parfois plus ». Leur collaboration débute en ce mois de novembre.

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